« Au galop vers la minceur »
Juin 2013 / Grâce à la réalisation d'un rêve d'enfance, Claudia Toro a trouvé eBalance et a adopté un nouveau mode de vie. Elle pèse maintenant 23 kilos de moins car elle mange équilibré et fait du sport. Son mari bénéficie lui aussi de ses nouvelles habitudes.
C'était un pur hasard : Début 2012, Claudia Toro est tombée sur une offre de cinq heures de cours de cheval sur un site proposant différentes actions. Avec cet achat, elle a déclenché une réaction en chaîne qui a eu beaucoup de répercussions positives.
Mais le plus important pour cette habitante d'Arnegg (St.Gall), c'est d'être passée de 88 kilos à 65. Pour elle, c'est la fin heureuse à d'une longue histoire plutôt triste.
Au début, les kilos n'étaient que dans sa tête
Claudia Toro a grandi dans une maison où la règle était de manger tout ce qu'on avait dans son assiette. Quand elle était enfant, et surtout adolescente, elle devait déjà se battre contre l'idée qu'elle était trop grosse et qu'on ne l'aimait pas à cause de ça.
« J'étais un peu mal dans ma peau », dit-elle. Cela a probablement contribué au fait que, après la puberté, elle a réellement commencé à prendre du poids. « À 16 ans, je m'habillais déjà en 46. J'étais réellement en surpoids, et j'en souffrais d'autant plus. »
La reine des régimes
Le stress de l'examen de fin d'apprentissage a fait fondre les kilos. Mais au cours del'année suivante passée en Angleterre, elle a repris du poids. Le yo-yo était lancé. La liste des méthodes de perte de poids qu'elle a essayées sans succès semble interminable. « J'étais la reine des régimes », plaisante cette femme de 47 ans.
Même quand elle a rencontré son mari actuel et qu'elle a trouvé avec lui le bonheur, elle n'est pas parvenue à maîtriser son poids durablement. « En fait, j'aime bien faire de l'exercice, mais j'ai longtemps mis ce besoin de côté car mon mari n'aime pas beaucoup l'activité physique. »
Ravel a tout changé
Début 2012, Claudia Toro a touché le fond. Il lui était désormais clair qu'elle devait faire quelque chose pour son corps. Et ça n'en est pas resté aux cinq heures d'équitation. À trois pas de chez elle, cette passionnée de cheval a rencontré Ravel.
Cet étalon appartient à une amie qui a deux jeunes enfants, et n'a donc plus le temps de l'exercer. C'est maintenant Claudia Toro qui le chevauche à sa place, cinq jours par semaine, quel que soit le temps. C'est un rêve d'enfance qui se réalise.
Une acceptation réciproque
Les séances d'équitation ont eu des répercussions : elles convenaient physiquement et mentalement à Claudia Toro, et l'ont motivée pour affronter définitivement son problème de poids. La patronne de l'écurielui a conseillé eBalance. Elle avait elle-même eu une expérience très positive avec le programme en ligne, qui lui avait permis d'équilibrer durablement sa consommation calorique et ses dépenses énergétiques.
Depuis que Claudia Toro est membre d'eBalance, elle dépense aussi son énergie en nageant, en marchant et à vélo. « J'accepte maintenant que mon mari reste tranquillement à la maison pendant ce temps. Et lui comprend que le sport me fait plaisir, et il en bénéficie : en rentrant, je suis heureuse et équilibrée. Ça nous va à tous les deux. »
Apprécier ensemble les plats eBalance
Le couple s'est retrouvé à table. En effet, son médecin avait conseillé au mari de Claudia Toro de perdre de cinq à huit kilos pour résoudre ses problèmes d'apnée du sommeil. « J'ai donc proposé à Juan Fernando de cuisiner aussi pour lui avec mon calcul de calories eBalance. » Elle n'y a mis qu'une seule condition : il devait manger tout avec elle.
Il s'y est volontiers soumis, car eBalance ne fait pas de prescription alimentaire, mais propose une large gamme de recettes pour des plats légers et équilibrés. « Et il y en a beaucoup qui sont absolument délicieux », dit-il. Grâce à cela, et malgré ses déplacements professionnels et l'alimentation déséquilibrée qui les accompagne, il a perdu huit kilos. Son apnée du sommeil a disparu, et il a donc pu se débarrasser de son appareil réspiratoire.
Éviter les calories superflues
Claudia Toro fait encore volontiers appel à ces recettes, dont elle a rempli un classeur. « Elles s'adaptent bien à mon emploi du temps, car il y a des recettes express pour le midi », dit-elle. « Pour remplir mon journal des calories ou vérifier quelque chose rapidement, j'utilise mon iPad, c'est très pratique. »
Elle sait maintenant depuis longtemps où se cachent les calories superflues. Pour la préparation de la plupart des repas, il lui suffit d'une cuillère à café d'huile. Elle fait cuire les escalopes de poulet dans un peu de bouillon maigre, elle utilise de la mayonnaise allégée, elle fait ses sauces salades à base de fromage blanc et elle ne met plus qu'une fine couche de beurre sur son pain. « Mais je m'autorise aussi un peu de Nutella, impossible d'y renoncer. »
Des astuces utiles
Claudia Toro a aussi adopté quelques astuces permettant de brûler les excédents caloriques survenant lors de repas. Dès qu'elle est au courant d'une invitation à dîner, elle organise des unités d'exercice correspondantes. « Parfois, ça peut être fou, comme 10 longueurs de 50 mètres dans l'eau à 16 degrés de la piscine découverte. »
Elle a en outre découvert qu'un peu de « triche positive » est avantageuse en ce qui concerne l'exercice physique. « Comme je saisissais dans mon journal en ligne une durée et une intensité inférieures aux faits pour mes exercices physiques, la perte de poids est survenue plus vite que prévu. Ça motive beaucoup. »
Un nouvel objectif
Une fois qu'elle aura stabilisé son poids actuel, Claudia Toro veut perdre 5 kilos supplémentaires. « Je veux tout simplement avoir une marge de sécurité. Je ne veux pas remonter au-dessus de mon poids actuel. Je me sens bien et attractive. »
Il va de soi que Claudia Toro apprécie les compliments de son mari sur sa nouvelle silhouette. « Soyons justes, il m'appréciait aussi avant, mais à l'époque, c'était la rondeur de mon derrière qui lui plaisait le plus », dit-elle en riant. « Aujourd'hui, mon derrière est passé à l'arrière-plan, une place logique pour un arrière-train. »
Jolanda Lucchini, juin 2013